Du 6 au 15 Aout 2012
Kompong Cham
Au petit matin nous partons de Siem Reap pour rejoindre la ville de Kompong Cham (5,5$, environ 5h) pour faire la route en deux jours en direction du nord-est. Nous trouvons une guesthouse, Phnom Prak Trochakchet (5$ la nuit), avec une vue imprenable sur le Mékong depuis notre balcon. La ville est plutôt calme et peu touristique, parfaite pour une halte paisible de quelques jours. A peine arrivés, nous filons comme d’habitude au marché, histoire de nous imprégner de l’atmosphère de la ville… très typique ! Nous nous promenons ensuite le long du Mékong et découvrons les quelques maisons flottantes qui le bordent. La chaleur aura rapidement raison de nous et nous faisons une petite pause fraicheur autour d’une bonne glace, ça fait du bien !
Pont sur le Mékong et la tour d’observation française
Le lendemain, nous louons des vélos (1$ la journée) et partons visiter Phnom Srei et Phnom Pros – la colline aux femmes et aux hommes. Ces deux temples mignonets sont perchés chacun sur leur colline avec un « champ » de bouddhas les séparant en contrebas. La visite des monts ombragés est sympa et la bien venue car aujourd’hui le soleil pilonne sévèrement, avec le vent de face en prime ! Sur le retour nous faisons une halte au Wat Nokor (2$, le ticket fait pour les 3 sites)
un temple bouddhique préangkorien. On retrouve les gros blocs de grès et de latérites entassés et de guingois comme à Siem Reap. Par contre, ici pas de touriste mais des animaux qui font la loi : nous tombons nez à nez à l’entrée avec deux énormes truies, les vaches déambulent tranquillement dans le site – ignorant parfaitement le panneau leur interdisant l’accès au temple…- et des dizaines de buffles barbotent dans les mares alentours. Le tout est assez bien conservé mais on regrette quand même le temple kitch aux couleurs claquantes planté en plein milieu… pas très homogène tout ça ! Nous prolongeons la visite du lieu en allant nous promener à vélo dans les rizières tout autour.
Wat Nokor
Ensuite, nous trouvons une piste qui longe la rive ouest du Mékong et admirons les maisons sur pilotis, les huttes flottantes et toujours les enfants joyeux nous hélant à notre passage : « hello, hello ! » ou « bye, bye !»…
Maison flottante le long du Mékong
Pour nous remettre de cette journée vélo harassante, nous allons diner aux stands de nuit ambulants. Au menu : nouilles et riz frits avec de la viande, délicieux teukolok (shake de fruits frais local) et Fab se laisse même tenter par une autre spécialité du coin, le « blabla », des œufs couvés une dizaine de jours… pas pire !
Le lendemain nous prenons un bus pour continuer notre route, en direction du nord et du Laos, pour Banlung (8,75$, 8h de route).
Lost In Da Jungle…
Nous arrivons en fin d’aprèm à Banlung, capitale provinciale du Ratanakiri, sous une pluie battante. L’intérêt premier du Ratanakiri c’est son isolement au milieu d’une nature encore sauvage et puissante, le protégeant relativement du monde globalisé. Balung est le principal point d’entrée pour le parc national de Virachey. Beaucoup de treks sont organisés pour les touristes souhaitant crapahuter dans la jungle.
Nous qui voulons un peu de fraicheur et du calme nous sommes servis : pas un chat dans la guesthouse (Bang Lung Balkany, 5$ la nuit, pas très bien entretenue mais ambiance super à la cool) et l’air est plutôt frais ! Nous faisons une étape ici dans le nord pour 6 jours, histoire de nous reposer un peu et de nous perdre hors de la civilisation. Le lendemain, nous en profitons donc pour ne rien faire, à part un petit saut vite fait à vélo au marché du coin. Et ça vaut le coup ! Il est très typique, avec les minorités ethniques qui s’y rendent pour vendre leurs quelques marchandises et couleurs et odeurs sont au rendez-vous ! Sur le retour, nous faisons le tour du lac qui se trouve devant notre guesthouse. Le reste de la journée nous glandons méticuleusement : lecture, billard, télé… de toute façon il pleut pas mal, ça nous fait une bonne excuse !
Coucher de soleil sur le lac en face de notre guesthouse
Le lendemain, nous reprenons les vélos de l’hôtel, gratuits mais bien pourris, pour nous rendre au lac volcanique, Yeak Leom, à environ 4km. Il fait beau, c’est sympa, nous nous baignons et observons les familles organiser leurs énormes pique-niques. Nous passons une bonne partie de la journée seuls jusqu’à l’arrivée d’une bande d’étudiants qui viennent fêter la fin de leurs exams. Ils nous offrent du riz gluant cuit dans des tiges de bambous et se baignent tout habillés, comme le font la plupart des khmers.
Le jour suivant, nous louons une moto pour 3 jours pour partir à l’aventure et découvrir les environs par nous même…
Jour 1 : Feu la photo…
Nous nous en allons donc sur notre monture d’acier sans but précis autre que de se balader dans la région, avec une carte IGN peu détaillée. Notre route nous mène dans un village au bord de la rivière Tonle Sap dont nous ne saurons pas le nom. Le chemin ocre qui y mène est merveilleux – traverse de nombreux villages reculés dans la campagne, nombreuses plantations d’hévéas (arbres à caoutchouc) – mais fait un peu mal aux fesses ! La piste, en saison des pluies, est vraiment défoncée et truffée de nids de poules et de flaques. Nous remarquons au passage les milliers d’hectares de forêts défrichées pour laisser place aux plantations, d’hévéas principalement. Ce drame écologique, le même qui ronge l’Amazonie, nous choque mais peut on seulement en vouloir aux habitants du coin lorsqu’il est question de survie ? A peine arrivés au village, une dame nous saute dessus pour nous proposer un tour de bateau, dans un anglais limité. Nous lui faisons comprendre que nous cherchons simplement un endroit où passer la nuit (car ici aucune guesthouse ou hôtel à l’horizon). Elle ne comprend pas sur le coup mais nous fait signe de la suivre chez elle où elle tend à Fab un portable avec un interlocuteur anglophone à l’autre bout du « fil ». Nous convenons que nous passerons la nuit chez la dame pour 5$ pour 2, avec le repas du soir inclus. Ça nous va, nous avons trouvé un toit pour la nuit, nous repartons donc à l’aventure…
Sur la route… évitons les cochons !
Nous décidons d’emprunter une piste longeant la rivière pour « rencontrer » les ethnies minoritaires qui y vivent. La piste s’avère encore plus difficile qu’avant et Claire doit descendre du scooter à plusieurs reprises. Mais c’est l’aventure et nous continuons notre route captivés par les paysages environnants… Nous vivons l’aventure, nous sommes pris dans l’aventure, trop peut être… Nous en oublions de protéger l’appareil photo et lors du passage de la dernière flaque, c’est le drame. La machine glisse et nous tombons dans l’énorme marre de boue rouge. Plus de peur que de mal, pas de bobo, nous sommes couverts de boue et l’appareil est dégoulinant… Argh, la loose ! Dégoutés, nous allons manger des nouilles dans un petit « «village » (quelques baraques de bois) à quelques pas du lieu de l’accident. La communication n’est pas facile, les gens ne sont pas très souriants – ils se demandent sûrement ce que deux étrangers couverts de boue viennent faire ici – et nous avons du mal à arborer nos sourire universels… Après, nous allons nous « laver » des pieds à la tête à la rivière à côté, histoire de repartir du bon pied. Nous retournons chez notre hôte, trempés, pour profiter de la fin de la journée et des scènes de vie du village. La dame nous accueille avec un « nice to meet you » parfait, c’est touchant on voit qu’elle s’est entrainée dans l’après-midi. Nous essayons de communiquer un peu plus à l’aide de ses cahiers pour enfants pour apprendre l’anglais avec des images et des traductions en khmer. Ce n’est pas gagné, mais nous arriverons quand même à échanger quelques mots. La cabane n’ayant ni WC, ni douche, notre hôte nous propose de faire un brin de toilette avec l’eau de pluie recueillie dans une énorme jarre se trouvant dans son jardin, c’est-à-dire en face de la rue principale. Nous allons également à la rivière pour effacer « les traces du crime » sur la moto qui, heureusement, a tenu le choc et n’a aucune égratignure. Après un repas simple (omelette et riz blanc) nous regardons dans l’obscurité (peu de maisons ont l’électricité) les gens du village passer, curieux de voir des étrangers ici. La nuit tombe vite, notre hôte nous fait comprendre que c’est l’heure d’aller se coucher et nous prépare notre paillasse pour dormir (à même le sol) en deux minutes avec une moustiquaire ! Il est 19h, nous sommes allongés sur des nattes sur le plancher de la cabane à côté de son lit… bonne nuit mamie !
Dernière photo prise juste après le « drame »…
Jour 2 : De la piste, encore de la piste…
Levés à 5h avec le soleil, nous grattons une heure de plus car la nuit fut agitée à cause du chant et des batailles incessantes des geckos. Puis nous repartons, dans nos fringues encore humides sur notre machine en direction de Veun Sai un autre village prés de la même rivière, mais bien plus à l’ouest. Cette fois, c’est moins sport que la veille même si Claire doit encore descendre de la moto à certains passages délicats. De bon matin, nous croisons beaucoup de femmes d’ethnies minoritaires (laquelle ? dur à dire, il y en a pas mal dans le coin) fumant la pipe et charriant de gros paniers en bois sur leur dos. La route est toujours aussi admirable mais cette fois longée, par moments, de dizaine de panneaux « Danger Mines »… Ici quand tu t’arrêtes pour faire un besoin pressant sur le bord de la route, tu serres les fesses… Le village annoncé par de jolies rizières n’a que peu d’intérêts, nous y faisons juste une pause repas. Nous prenons donc le bac pour traverser la rivière et marchons au travers des villages environnants où des communautés de chinois et de laotiens vivent. Ayant toujours du sable de la veille dans le caleçon et n’ayant pas trouvé de guesthouse dans les environs, nous décidons de rentrer à notre hôtel à Banlung. Nous apprécions la douche et ne faisons pas de vieux os, nous avons bien mérité un bon repos sur un matelas !
Nous avons encore le scooter pour aujourd’hui, nous en profitons donc pour aller voir les cascades des alentours sans nous épuiser sur les horribles vélos de l’hôtel. Après avoir un peu tâtonné (merci encore les explications du routard !) nous allons voir les 3 principales cascades (Ka Chahng, Katieng et Cha Ong, droit d’entrée d’environ 1$ à chaque fois). Elles sont toutes très belles, hautes d’une trentaine de mètres et puissantes en saison des pluies même si du coup l’eau n’est plus claire mais plutôt marron. Néanmoins il est possible de se baigner du moment qu’on arrive à affronter le courant ; Fab sera plus téméraire que Claire sur ce point…
Cascade de Ka Chahng
La dernière que nous découvrons permet de passer derrière le rideau d’eau, c’est très impressionnant ! La végétation autour est toujours luxuriante, il y a des lianes, d’immenses arbres, des centaines de bambous… Après cela nous passons à côté d’un cours d’eau et décidons de nous arrêter pour nettoyer un peu mieux notre moto avant de la rendre pour ne pas éveiller les soupçons… Et là, une khmère qui a eu la même idée que nous, nous montre ses astuces et nous aide même à la laver ; nous passons un moment sympa au milieu des éclaboussures. Sur la route du retour nous achetons quelques délicieuses brochettes et des sandwichs pour profiter de la terrasse de la guesthouse pour notre dernier repas à Banlung, puis nous rendons notre super monture. Après deux jours de séchage nous testons l’appareil photo… verdict : il n’y a pas tout qui marche mais c’est moins pire que prévu ! Demain départ tôt le matin pour Paksé au Laos (20$ par personne, 8h de route).
Cascade de Cha Ong
Nous partons donc vers 6h de notre hôtel avec un tuk-tuk qui nous emmène à la gare routière quelques kilomètres plus loin. De là nous montons dans un grand bus qui nous dépose 2h plus tard au bord de la route (comme d’hab’ il n’y a que nous qui sortons, on dirait que nous sommes toujours les seuls à nous rendre sur certaines destinations) ! Le bus n’ayant sûrement pas voulu faire le détour seulement pour nous, il a appelé un conducteur de moto qui nous attendait là… Pour aller où, nous ne le savons pas, mais ce que nous comprenons très vite c’est que ça va à nouveau être l’aventure car nous montons à trois sur la moto avec nos quatre sacs et le tout sans casques, sur environ 15kms… Ouf, nous arrivons sains et saufs, il faut juste avoir la technique ! Nous attendons ensuite dans un boui-boui, il y a un bus (c’est bon signe) garé juste devant mais personne à part nous qui attendons. 30min plus tard un autrichien et un allemand sont déposés avec nous et on nous fait signe de monter dans le bus. Après avoir été trois sur le scooter, nous nous retrouvons à quatre dans le bus ! Une demi-heure après, le bus nous dépose devant le poste frontière et le chauffeur nous dit qu’un autre bus nous attend de l’autre côté…
Brève de voyage :
Une fillette d’une douzaine d’année :
« Bonjour, est-ce que vous êtes heureux au Cambodge ?»
Fab : « Oui, c’est très joli »
Claire : « Oui, nous adorons, c’est un très beau pays. »
La fillette : « Oh, merci, c’est très gentil ! »
Un français d’origine cambodgienne d’une vingtaine d’année :
« C’est la première fois que je viens au Cambodge avec mes parents, nous allons retrouver quelques membres de la famille qui est un peu éparpillée partout. La plupart des proches, on ne sait même pas où ils sont […] le passé est toujours tabou dans ma famille […] je ne sais que très peu de choses sur le passé de mes parents. »
Notre Bilan sur le Cambodge du 23 Juillet au 15 Aout 2012
D’abord, le Cambodge nous a beaucoup plu, autant pour l’accueil et la gentillesse de ses habitants que pour ses différents paysages, tous magnifiques. Même si les khmères sont plus pauvres qu’au Vietnam et ont vécu des tragédies récentes, nous avons constaté qu’ils ont le cœur sur la main et le sourire aux lèvres. Un exemple, ils nous ont souvent souhaité « good luck » pour nous dire au revoir. De plus leur accent est plus compréhensible quand ils parlent anglais !
Comme pour son voisin le Vietnam, nous avons aimé visiter les nombreux Wats (avec les moines en plus) et nous balader dans les campagnes au milieu des rizières et des maisons sur pilotis. Le petit plus qui nous a conquis ici, c’est le contact facile avec les habitants et l’enthousiasme des enfants lors de notre passage.
Niveau météo, même en pleine saison des moussons nous n’avons pas trop été dérangés par la pluie avec seulement deux jours de mauvais temps. Les quelques averses que nous avons essuyées n’ont jamais duré plus d’une heure et ont été l’occasion de rencontres. Nous avons trouvé le climat généralement plus chaud et plus humide qu’au Vietnam.
Les plages de Sihanoukville nous ont plu, les « montagnes » du Ratanakiri aussi.
On voyage ici aussi facilement qu’au Vietnam, dommage que les bus de nuit ne soient pas répandus et que les autres soient infestés de moustiques. Les routes sont plutôt bonnes, les pistes, en revanche, plutôt « hasardeuses » en saison des pluies.
Les cambodgiens sont fans de clips musicaux version « tragédie romantique » et de série télé à l’eau de rose avec une seule voix féminine pour doubler tous les acteurs… ça nous a bien fait marrer !
Bref, le Cambodge on a adoré, faut y aller !
Nos coups de cœur en vrac :
Les plages désertes, les temples d’Angkor, la campagne de Battambang, la jungle et ses cascades autour de Banlung, les mamans en pyjama, les livreurs d’énormes blocs de glace pour les glacières des commerçants et des habitants, les enfants tout nus qui nous crient « hello », les moines qui font l’aumône tôt le matin… Nous avons visité 1 site Unesco.
Bilan « culinaire » en vrac (ce avec quoi nous nous sommes délectés durant plus de 3 semaines…):
Il ne faut pas aller manger tard si on veut de la nourriture de rue : 20h maximum, les gargotes ferment tôt !
Comme pour la cuisine vietnamienne, les recettes cambodgiennes sont peu pimentées à la base mais aromatisées (coriandre, oignon, ail et cette fameuse feuille verte, genre coriandre en plus fort, que nous détestons…) et il y a toujours sur les tables de quoi enflammer le palais !
Lok lak, Amok, curry au lait de coco, teukolok, café et chocolat glacé, soupe de courge sucrée au curry, petites brochettes de viande des marchés, beignets en tous genres (sucré, salés), gâteaux au goût de châtaigne, le tofu très goûtu, le riz gluant sucré dans une tige de bambou… Bref, un délice pour nos palais !
Bilan financier :
Le Cambodge peu être classé dans les destinations bon marché. Comparé au Vietnam, où nous étions précédemment, les logements sont légèrement moins chers mais souvent moins propres (beaucoup d’hôtels à 5$) et pour la nourriture nous dirions un peu moins onéreuse également. Notre séjour au Cambodge nous aura couté 340€ par personne dont 20$ de visa !
Quelques exemples de prix : 1500 Riels pour une grande bouteille d’eau (1,5L), 2000 pour un soda, 2000 pour une bière pression, 2500 pour un teukolok, 3$ pour un amok ou un lok-lak, 1L d’essence coute environ 5000 riels.
Bilan transports :
En tout nous avons pris 8 grands bus, 5 vélos, 1 fast boat, 3 scooters, 2 motos- taxi (3 dessus), 7 tuk-tuk.
Vous nous avez fait des frayeurs avec le drame : nous ne pouvons pas rester sans reportage photos !!!
Bon ce dernier récit me rappelle « PEKIN EXPRESS » sur de nombreux points, c’est super sympa ;( enfin, vu la tête de FIFI sur la photo, ça ne donne pas envie de goûter le blabla ).
Bisous
Lui il l’a fait, moi non plus ça m’a pas donné envie! Le « blabla » on ne sait tjrs pas le nom (d’ailleurs si qqn a une idée?); Ne vous inquiétez pas, on va arriver à continuer les reportages photos malgré tout! A bientôt dans nos aventures!
ah ben c’est vraiment pas de chance cette chute malencontreuse dans la boue !!!!!! ça fera partie des bons souvenirs, c’est rigolo (pour nous) il faut bien l’avouer …. le principal c’est que l’appareil photo ai survécu, ouf ! bon pour le petit oisillon dans son oeuf ça donne pas envie mais j’ai vu dans pékin express que c’est un met très goûteux là bas, chacun ses références culinaires… le bec n’était pas trop dur ????? quand même Claire tu aurais pu goûter, tu trouveras jamais ça en rentrant !!!!
Alors pour l’explication de l’oeuf, en fait il y a juste qq membranes « noires » et 2,3 mini plumes ms pas d’oiseau ni le bec…Malgrè tt je crois que je n’arriverais pas à goûter ça, tant pis! Et pour la chute dans la boue ben ça restera un bon souvenir , c’est sûr!
Très heureux de vous savoir en pleine forme malgré toutes vos aventures. Fifi il n’y a pas de barbier au Cambodge ? Peut être un espoir au Laos ? Les deux Petites Claires, il faudrait me surveiller Fifi afin qu’il ne mange plus n’importe quoi…..Je sais qu’il faut tout essayer dans la vie….mais là Beurk !!!! Bon l’appareil photo ? Tout remarche ? Bisous A +
Non les barbiers sont en grève au Cambodge et sont trop fatigués au Laos, le rasage devra attendre… Pour l’appareil c’est pas trop pire, il y a quelques boutons sur le boitier qui ne fonctionnent plus trop (mais on arrive a s’en passer), le plus pénible c’est l’auto-focus qui est pété!!! Obligé de faire la mise au point à la main, du coup c’est plus long et plus de photo instantanée…
La bise de nous!
Ça fait vraiment plaisir de pouvoir vous suivre dans vos aventures
Et je peut dire que ça donne vraiment envie de vous rejoindre !
Continuer bien et prenez soins de vous surtout
Biz
Merci le cous’! On va essayé de faire plus gaffe pour la suite de l’aventure… Take care!
Chapeau nous sommes en admiration devant claire pas facile pour une fille bises a tous les deux
Merci, c’est vrai que c’est une sacrée baroudeuse la miss Claire!
Bises de nous!
Et Coucou !!! Vous dormez ??? Dites moi si je ne suis pas très douée mais je n’ai pas trouvé la vidéo qui clos votre séjour au Cambodge ??? C’est OU ?? AH…… l’appareil ne fait plus de vidéo ? Bon vous êtes beaucoup trop occupés….et bien bonne continuation.
Bisous
L’oeuf couvé c’est du déjà vu, pas très trash, faudra trouver autre chose la prochaine fois! Le globe cooker fred chesneau, lors de son voyage culinaire au cambodge, a déguster un oeuf de canard couvé, mais lui avais plumes…et bec ! (d’ailleurs il précise bien que le plus dur à avaler, oui oui, c’est le bec !!) pouahhhhhh !
Et kiki, il s’est mis à passer de balcon en balcon en rappel ?
Les plumes y étaient, mais je n’ai pas senti le bec… c’était pas une grande gueule le p’tit.
Que d’aventures !! Non moi perso, je pense que j’aurais beaucoup de mal pour le couchage sur une natte !! Bein ouais, j’ai besoin de mon confort nocturne… Sinon, toujours autant de belles photos, bien que peut être un peu… tachées ? dans les angles on dirait qu’il ya un peu de boue non ?? hahahaha
Et puis on a retrouvé Kiki !!!
Bonne continuation les amis
Bizz
Ah le coup bas, je n’pensais pas qu’il viendrait de toi…moche!
Je vais t’interdire l’accès au site, comme ça tu ne verras plus les photos « tachées », pffff!
Pas la bise de nous!
bon c’est bien beau tout ca, mais il est ou le defi #3 hein?? il est ou?? et non j’ai bien regarde il est pas dans mon c…! bref.
non parce que bon la boue ca c’est OK, l’oeuf « blabla » ca c’est bon aussi, les photos top romantique OK, mais le defi #3….
allez gros bisous les ZOBS.
ps: vivement le #10…. hihihiiii
bon ben encore un pays qui est fini on attend la suite avec impatience , sinon dure pour l’appareil photo , mais t’inquiètes pas en Amérique du sud ils vont te le réparer mais par contre ils vont peut être pas te le rendre, Lucile demande si sont kiki va bien ?
la bise a tous les deux
Ouai on se dit qu’il a déjà fait 3 mois à la dure fallait bien qu’à un moment ou un autre il y ait un petit hic… bon c’est pas trop pire mais faire des photos sans auto-focus, ça prend un peu plus de temps… Dit à la p’tiote que son Kiki va bien, il a adoré le dernier trip en moto dans les boloven…
La bise à la famille
Vous êtes trop forts les jeunes. Bravo!
Merci Totophe, j’crois qu’il y a encore mieux à suivre niveau aventures… reste connecté!
La bise des nous deux!
Que d’aventures (vous avez vu je rattrappe mon retard 🙂
Vous vous la faîtes à la Pekin Express dis donc !!! Pour le nom de l’oeuf couvé je crois que ca s’appelle un Bantam Merci la culture (Pekin Express).
C’est le reflex qui a douillé ??? Ou vous en avez autre un petit ?!
Enfin… vous me faîtes toujours rêver !