Cambodge : Passage de la frontière, Phnom Penh et Sihanoukville

Du 23 au 30 Juillet 2012

Et hop, nous voilà au Cambodge, jetons un œil à la « carte d’identité » du pays :


Superficie

181 035 km².

Population

14,4 millions d’habitants.

Capitale

Phnom Penh.

Nature du Régime

Monarchie constitutionnelle à « tendance autoritaire ».

Chef d’Etat

Roi Norodom Sihamoni depuis 2005.

Premier ministre Hun Sen.

Monnaie

Riel ( le $ est très utilisé ici)

Langues

Khmer, français anglais, vietnamien.

Revenu Moyen

environ 230$ (187€) par mois et par habitant.

Taux de Change Moyen Lors du Voyage

1€ = 5000 Riels ou KHR.

1$ = 4100 KHR.

Décalage horaire avec le France

+5h.

Espérance de vie

62 ans.

Le passage de la frontière…

Nous arrivons en fast boat au poste frontière entre le Vietnam et le Cambodge, et là c’est une grande épopée qui commence… Lors de notre entrée dans le bateau quelques heures plus tôt, le guide nous a demandé nos passeports pour avancer le travail pour l’obtention des visas à la frontière et se simplifier la tâche… Nous sommes au courant que si nous les lui donnons, nous devrons payer notre visa 5$ de plus chacun qui n’est qu’une commission que se prennent le guide et sûrement un « bakchich » pour les autorités du poste frontière. Nous résistons donc malgré son insistance en lui disant que nous voulons faire nos visas nous-mêmes à la frontière et que nous ne lui donnerons pas nos passeports. Nous découvrons que sur la quarantaine de passagers qu’il y a dans le bateau, seulement un couple de russes et nous avons fait de la rébellion, certainement que nous sommes les seuls à savoir que le visa touristique coûte 20$ et non 25$ (merci Thomas et Fred) ! Le bateau s’arrête donc à la frontière, tout le monde descend et nous suivons le guide en se demandant à quelle sauce nous allons être mangés… Nous pensons que nous allons gentiment attendre le tamponnage des visas de tous les passagers et passer après pour faire faire les nôtres ; mais non, d’un coup le guide nous explique qu’il faut que nous aillions en moto jusqu’au poste frontière, de ne pas s’inquiéter, qu’il faut le suivre… Aie aie aie ça se complique ! Quelques minutes plus tard nous nous retrouvons à 3 sur une moto qui file à travers une piste en suivant celle du guide. Un instant plus tard le guide étend ses 2 bras, comme un oiseau qui s’envole, et nous sortons de la route pour prendre un chemin de traverse (sûrement un contrôle de police…), c’est l’aventure ! Puis nous arrivons à l’endroit « officiel » où sont en fait tamponnés tous les visas. L’endroit est presque vide, une grande table de pique- nique est posée au milieu d’un joli jardin et le personnel joue aux cartes ! Et là nous ne comprenons plus rien, pourquoi le bateau s’est arrêté plus haut alors que les papiers se font en fait ici et que les passagers viennent de nous rejoindre à bord de notre fast boat ? Pourquoi sommes nous venus en moto 5 min avant leur arrivée alors que nous aurions tous pu rester sur le bateau pour débarquer en fait ici ? Nous observons le guide qui compte l’argent devant nous, en met de côté en nous expliquant qu’il le garde pour les bakchichs, il a l’air stressé, très stressé. De longues minutes plus tard c’est à notre tour, le guide glisse rapidement à l’oreille de Fab que le monsieur va très certainement nous demander 2 $ de plus… Fab passe en 1er et ça ne loupe pas : malgré un énorme panneau au dessus de nos têtes où il est noté « tourist visa 20$ », le « charmant » monsieur demande 2$ de pourboire sans aucune gêne ! Notre Fifi reste poli et souriant en disant qu’il ne comprend pas pourquoi car il est noté que le visa coûte 20$ (cf le panneau au dessus de sa tête !) ; ça n’ira pas plus loin et Claire passera après sans aucun problème, il ne demande plus de pourboire. Vive la corruption, c’est à peine croyable ! Enfin ça y est, nous avons passé la frontière et sommes désormais au Cambodge, c’est l’essentiel !

Le visa cambodgien :

En arrivant par voie « terrestre » (ou fluviale…) le visa cambodgien coûte seulement 20$. Il s’obtient « facilement » en présentant aux autorités un formulaire d’entrée dans le pays et une photo d’identité. La plupart des agences de voyage (celle du bus ou du bateau avec lequel vous passez la frontière) demande 25$… Cette petite commission sert d’une part à remplir les poches de l’agent de voyage et d’autre part de bakchich pour les policiers cambodgiens. Mais bon, quand on gagne 30€ par moi, tous les moyens sont bons !

Phnom Penh, la capitale tranquille…

C’est la fin de l’après- midi quand nous débarquons à Phnom Penh et nous apercevons de suite des gens très souriants, c’est bon signe ! Nous trouvons une guesthouse sympa, propre, à 2 pas du marché central pour 6$ la double : Keo Mean. Après un petit moment détente dans notre nouvelle maison, nous partons à la découverte des environs et à la recherche d’un distributeur, si possible qui ne prenne pas de commission à chaque retrait (Canadia Bank). Nous voyons pas mal de bureaux de changes au bord de la route et en profitons pour nous débarrasser des derniers dongs qu’il nous reste en poche. De longues minutes plus tard nous trouvons enfin notre distributeur, ça y est nous pouvons enfin aller manger ! Nous remarquons que cette ville est peu éclairée la nuit et nous avons vu plusieurs personnes dormir dehors ainsi que quelques mendiants. Au niveau de la circulation, ça roule pas mal mais ce n’est pas l’effervescence ; nous constatons pas mal de voitures et gros 4X4 mais peu de klaxons (et de casques pour les motards… mais la loi stipule que ce n’est obligatoire que pour le conducteur, depuis 2009), et encore beaucoup de sourires ! La ville nous plait beaucoup : les quelques vieux bâtiments coloniaux –souvent réaménagés en hôtels- au milieu des échoppes et le peu de monde dans les rues, confèrent une atmosphère de ville « tranquille » à Phnom Penh, à l’opposée des autres grandes capitales asiatiques « grouillantes ». Nous traversons quasi tout le centre ville à pied en environ une heure hélés de-ci de-là par les chauffeurs de tuk-tuk (spacieux avec un toit) toujours souriants, courtois et blagueurs !


Bâtiments de Phnom Penh

Les devises au Cambodge :

Ici, la plupart des prix sont affichés en dollars US et c’est d’ailleurs la seule monnaie délivrée dans les distributeurs de billets. Néanmoins la petite monnaie est rendue en Riels et certains boui-bouis n’acceptent que les Riels. Bref, amis routards au petit budget, il vaut mieux toujours avoir un peu des deux ! Le plus simple étant de retirer des $ et de les changer dans un monnaie changer de rue (taux intéressants).

Après une grasse mat’ bien méritée nous avons décidé d’aller visiter le Musée du Crime Génocidaire : Tuol sleng, aussi appelé S-21 (2$ l’entrée). Cet ancien lycée, construit par des français, est devenu d’avril 1975 à janvier 1979 la prison la plus terrifiante du Cambodge des Khmers rouges. Près de 15 000 opposants au régime y passent avant d’être exécutés un peu plus loin dans le camp d’extermination de Choung Ek. Tout le monde était enfermé au S-21, sans distinction aucune, femmes, enfants, bébés, toute la famille ! La manie d’archivage des Khmers Rouge a laissé des milliers de photographies des prisonniers (et des geôliers) ainsi que des biographies et des aveux qui ont tous été stockés et sont visibles dans le musée. Nous faisons le tour des 4 bâtiments où nous voyons les minis cellules et les salles d’interrogatoire (comprenez de torture), où les gardiens entre 10 et 15 ans (car plus cruels) exerçaient les pires atrocités. Les barbelés, présents aux balcons, servaient à empêcher les suicides… Nous découvrons également des toiles faites par l’un des 7 survivants illustrant les diverses méthodes de torture alors utilisées. Dans la dernière salle nous passons en revue des dizaines de photos d’anciens gardiens du S-21 durant leurs exactions puis dans leur vie retrouvées : piroguier, agriculteur, mère de famille, vannier… C’est choquant mais il faut l’envisager dans une perspective de réconciliation du peuple cambodgien. La visite est cauchemardesque (nous restons presque 3h) mais permet de comprendre un peu mieux l’histoire et le traumatisme vécu par les cambodgiens (il y a une trentaine d’années…).


Intérieur du « lycée-centre-de-détention » S-21

Pour nous changer les idées, nous prenons le chemin du retour en passant par des parcs et temples (ici aussi ça pousse comme des champignons) ! Le soleil nous assomme et en marchant devant la première grande surface que nous voyons depuis notre départ, nous sommes attirés vers l’intérieur (il y a la clim’)… Nous sommes curieux de voir ce qu’il y a dans ce magasin qui ressemble tant à ceux de chez nous. Nous trouvons avec étonnement une multitude de fromages : Fourme, bleu, brie, gruyère, raclette, ainsi que de la charcuterie italienne (hors de prix bien sûr…). Nous tombons aussi sur une boite moyenne de saint-moret qui coûte la coquette somme de 9,50$ ainsi qu’un pot de nutella de taille moyenne également pour 6,90$ ! Autant dire que les « mets délicats » de chez nous ce n’est pas pour tout de suite ! Nous finissons tranquillement la soirée à notre guesthouse et nous régalons au diner d’un délicieux poisson frit et de bœuf aux épices cambodgiennes accompagnés de nouilles (7000 + 6000 Riels, thé vert froid en libre service).


Aujourd’hui nous commençons la journée par la visite du Palais Royal et de la pagode d’Argent (6,25 $) en empruntant la jolie promenade qui borde le Mékong. Ce palais date du début du 20° siècle,
le roi actuel Norodom Sihamoni y vit toujours dans une des parties qui est interdite à la visite. L’architecture des bâtiments a des airs de pagode (magnifiques toits étagés aux tuiles vernissées) et l’ensemble avec de beaux jardins fleuris est très agréable. Nous découvrons une succession de pavillons et de salles pendant environ 2h : salle du trône, pavillon Napoléon III… Vu le prix, nous regrettons quand même que certains édifices soient interdits à la visite ou fermés pour cause de restauration. Après, nous faisons un tour à la Pagode d’Argent où l’on découvre une centaine de Bouddhas : en jade, en or (90kg) et incrusté de 2086 diamants, en marbre (de Birmanie) etc. Quelques stupas parsèment le jardin fleuri et entouré d’une longue fresque (plus où moins bien conservée) contant la vie du Ramayana.


Dans l’enceinte du Palais Royal de Phnom Penh

Nous nous dirigeons ensuite vers la gare routière pour prendre des billets pour partir à Sihanoukville le lendemain matin. Un jeu d’enfant, ils parlent très bien anglais ici ! Nous faisons ensuite un petit détour pour aller boire un petit coup au Café (à l’intérieur du centre culturel français), petit resto d’application d’école hôtelière monté avec l’appui de l’ONG friends qui soutient l’action de childsafe. Au Cambodge on trouve énormément d’ONG qui viennent en aide à la population. Pour le repas de midi nous choisissons d’aller explorer le grand centre commercial de Sorya, le premier que nous voyons ! Un petit tour rapide et nous en venons à la conclusion que ce doit être un endroit réservé à une certaine partie de la population car les prix sont les mêmes que chez nous, voir parfois plus chers ; heureusement leur «  food center » est lui très abordable et après avoir acheté à l’accueil des coupons correspondant à une somme d’argent, nous allons trouver notre bonheur dans les divers étalages : un régal !

Avant de rentrer à notre guest house, nous faisons un passage éclair au marché central qui est une gigantesque halle jaune construit en 1937 par des architectes français. Le marché est couvert d’une impressionnante coupole de 26 m de hauteur qui se prolonge par 4 ailes. Son architecture lui donne une étrange silhouette de soucoupe volante posée au milieu de la capitale. Pour nous, même s’il est l’un des marchés couverts les plus grands d’Asie, nous n’avons pas retrouvé l’authenticité de celui de Dalat, ici c’est plus aseptisé. Néanmoins, l’extérieur vaut le coup d’œil ! La journée se termine avec un bon «  loklac » qui est une spécialité khmère (enfin une !) à base de bœuf mariné au citron servi avec un œuf frit, des oignons et des frites : viande succulente.


Marché central de Phnom Penh

Le jeu du bidule : qu’est-ce que c’est que ces bidules ci-dessous ?! (Enorme prix à gagner pour le premier qui trouve la bonne réponse…)



Bidules ?!

Sihanoukville la seule vraie station balnéaire du pays

Ce matin nous partons direction les belles plages et îles du Sud du Cambodge et il fait toujours beau ! Après un petit déj’ dans la rue à base de pain vapeur à la viande en attendant le bus, nous partons à l’heure et sur de belles routes. Le trajet se fait en 5h (20 000 Riels) avec d’horribles sketches « humoristiques » qui nous cassent les oreilles tout le long tellement que le son et l’image sont pourris ! Un petit trajet en tuk tuk plus tard et nous trouvons notre nouveau logement : le Lim Hour Bungalows pour 8$ la double, à Otres Beach. Nous avons choisi le côté le « moins » touristique pour s’isoler un peu et ça vaut le coup : plage de sable blanc à perte de vue, très peu de monde (c’est la basse saison) aucun bruit ni lumières le soir et une piste en guise de route… Nous retrouvons un peu nos « îles Gili » d’Indonésie ! En partant à la recherche d’un resto pour le soir nous nous croyons même seuls car tout a l’air fermé, nous ne croisons personne : mais non, c’est juste très calme et ça nous convient parfaitement ! Nous nous égarons dans un resto indien, il y en a quelques uns au Cambodge et c’est toujours bon marché, celui-ci est même à volonté ! Ca nous fait bizarre de retrouver des plats épicés, nous n’avons plus trop l’habitude…

Le lendemain gros programme : grasse mat’ et journée glandouillage intensif sur la plage ! Après un petit déj’ à l’hôtel avec leur délicieux teukolok (shake à la noix de coco, mangue, ananas, banane et avec un œuf et du sucre) nous partons choisir notre chaise longue pour lézarder sur la plage (ici les transats sont en libre service, du moins en basse saison donc on en profite) ! Il fait très beau, c’est le top ! Le seul effort de la journée sera de marcher un peu sur la plage pour trouver un endroit où acheter des billets de bus pour aller à Battambang 2 jours plus tard et de trouver une excursion en bateau pour aller faire du snorkelling (ou randonnée subaquatique avec masques et tubas) sur les îles d’en face (car ici la mer est trop agitée pour voir des coraux). Nous trouvons notre bonheur chez un français établi là depuis 6 ans, qui est marié avec une cambodgienne et qui parle parfaitement le khmer. Il loue quelques chambre mais possède surtout un resto qui propose du sauvignon et des petits plats français raffinés, nous discutons ensemble un moment, il nous donne quelques tuyaux. Un petit café glacé plus tard (ils le boivent comme ça souvent et c’est très bon !) et une salade de fruit en guise de 4 heures, nous retournons à notre dur labeur, la bronzette… En fin d’aprèm nous décidons tout de même d’aller marcher un peu le long de cette plage sauvage pour aller admirer et photographier le coucher de soleil d’un autre point de vue. Le soir nous goûtons une nouvelle spécialité locale : l’amok. Ca peut être du poisson ou du poulet cuits dans une sauce au lait de coco et coco râpée avec des haricots verts, poivrons verts et ananas et bien sûr du riz : un vrai délice pour 3$50.


C’est trop romantique…

Aujourd’hui nous partons donc en excursion sur un bateau pour 10 personnes. Dans le groupe nous faisons la connaissance de 4 français dont 3 filles qui sont là pour travailler avec l’association pour un
sourire d’enfant pendant 5 semaines et qui prennent quelques jours de vacances avant de commencer. Après un petit déjeuner sympa sur la plage, nous embarquons en direction de notre 1er spot de snorkelling et nous découvrons de jolis coraux, parfois verts, une multitude d’oursins, quelques poissons rayés et des anémones dont une très belle un peu pourpre. Dommage que l’eau soit légèrement trouble mais le soleil est au rendez-vous donc nous en prenons quand même plein les yeux (surtout à cause des masques peu ou pas étanches…)! Nous accostons ensuite un long moment sur « Bamboo Island » où nous prenons notamment le déjeuner : barracuda au barbecue, crudités, riz et fruits. Nous traversons ensuite cette petite île en 15 min pour nous retrouver sur une plage encore plus paradisiaque avec seulement quelques cabanes en bois colorées, une balançoire et un petit bar : idéal pour se reposer ou faire de grosses fêtes privées ! Le ciel se couvre pour le retour, nous finissons le trajet sous une légère pluie mais dans une mer agitée : Claire a un peu le mal de mer… Pour 15$/personne ce fût une super journée. Nous rentrons à notre plage et retournons plus tard déguster un nouveau amok, aux fruits de mer cette fois, encore délicieux !


Plage déserte sur Bamboo Island

Journée de transfert Sihanoukville-Battambang (15$) : partis vers 9h nous arrivons à 20h30 à destination après un changement obligatoire à Phnom Penh. Longue journée ! La première partie du parcours (Sihanoukville – Phnom Penh) se passe sans encombre dans un bus spacieux, confortable et des routes impeccables. Ça se gatte pour la deuxième partie : les routes sont bien défoncées, le bus est plus pourri, sans place pour les jambes, et surtout il est infesté de moustiques ! Notons au passage l’écrasante victoire de Claire sur Fifi au jeu du « fracasse moustique » 32 à 15… victoire dans appel de la championne toutes catégories ! Les magnifiques paysages – vieilles maisons sur pilotis sur fond de rizières clairsemées de palmiers -, tout au long de la route, aident également à faire passer le temps ! Par contre les films à 2 balles et les clips musicaux à 1,32 balles (volume à fond), c’est moins choukar

Commentaires

  1. Lucie

    moi je pense que ce sont des cactus épépinés, que l’on peut déguster ou boire en jus de fruits ?????
    ou de gros crapauds verts décapités, écrasés et séchés !!!!!!!!!!!!!!

  2. MUM et P'PA

    Et moi j’ai trouvé ce soont des fruits de la taille d’un pamplemousse chinois, il pèse de 1 à 5kg. Le fruit est caractérisé par sa forme en cœur, parfois un peu plus distordue.
    Sa peau est vert foncée avec un aspect épineux. Cette peau est assez fine et se pèle facilement. A l’intérieur, se trouve la chair blanche contenant plusieurs graines noires. La chair blanche est extrêmement parfumée, le goût est sucré et légèrement acidulé

    QUI DIT MIEUX ? Mum

    1. tritce

      la prochaine fois il faudra signer Wilkipedia au lieu de mum &P’pa… ho l’arnaque les mecs !!!

  3. MUM et P'PA

    A j’ai oublié de vous mettre le nom des COROSSOL

  4. rapounet

    hihihiiiii c’est un « lotus »….
    allez si c’est ca, je vais devenir le master des jeux a la con! huummm serait un signe??
    non rien a voir….
    alors???
    biz biz

    1. fifi

      Il est trop fort ce rapounet, c’est bien un Lotus ! Bravo, félicitations, tu es l’heureux gagnant du super cadeau des ZOBS ! Avec ce magnifique cadeau tu vas pouvoir épater tes copains et l’emmener partout avec toi , tant il te sera indispensable ! Quelle chance il a quand même ce rapounet, faut dire qu’il est très fort aux jeux ( les autres sont plutôt nuls aussi faut dire…)! Amuse toi bien avec ton nouveau super cadeau et prends en grand soin (il est précieux!).

      1. Les Mi Amors

        Oui ben c’est facile il a que ça à faire toute la journée que de partir à la recherche d’information !!! C’est pas comme s’il avait un travail ! Et puis la franchement c’était trop facile même moi j’aurais pu trouver c’est pour dire…
        Des bisous

        1. fifi

          Ah ben alors ça c’est bien dit les Mi Amors! J’allais dire pareil, il a que ça à faire Rapounet! C’est pas comme si il avait un travail et un enfant!!! Claire

      2. rapounet

        youpi… j’ai trop hate… mais bon faut encore que je poireaute (oui verbe issue du legume….) 10mois… putain c’est long 10mois, mais bon si ca veau (oui verbe issue de l’animal) le bien…

  5. rapounet

    putain il est ou kiki???
    ca y est il a fuge c’est ca et vous osez pas nous le dire ou bien???

    1. fifi

      Ben t’as pas vu que kiki était sur le Mékong? en fait il n’a pas passé la frontière lui…Il a décidé de rester au Vietnam!…Ne te fais pas de sushis rapounet!

  6. MUM et P'PA

    Bon ok je donne la bonne réponse cette fois, c’est un lotus ; une fois, les pétales tombées, à l’intérieur des graines comestibles. C’est le « fruit » qui sera vendu. Ouvrez le et vous verrez les graines qui elles se mangent. D’ailleurs ,tout se mange dans le lotus !

    Je suis rentrée ce matin de 3 semaines de congé et je m’ennuie ferme !!!Alors vive le jeu du bidule…. bisous, bisous, MUM

    1. rapounet

      ah bah oui c’est facile quand on a la reponse plus haut!!!
      hihihihiii….

  7. papa/maman

    Papa demande si vous avez laissé vos tongs sur l’arbre mort de la plage ?
    Nous supposons que ça porte bonheur aux chanceux voyageurs qui s’arrêtent sur cette plage idyllique ! Et ne parlons pas des amoks et autres mets … Avez-vous goûté le lotus ?
    Pour nous c’est l’heure de manger la salade de tomates-cocombres et pâtes à l’eau ; exotique, non ? Bisous

    1. fifi

      Non ns n’avons pas gouté le lotus, ni laissé nos tongs sur l’arbre car celles qui sont exposées sont celle qui ont été rejetées par la mer. Il y a bcp de tongs qui « échoués » comme ça en Asie!

  8. Chocuhou

    des bouses de varants écrasés par des éléphants !!

  9. Pipo

    J’avais la réponse pour le lotus, mais trop tard qq avait déjà gagné.
    Commencer Phnom Penh par le S 21, c’est plutôt hard. Si l’extérieur est « anodin », la visite, tous ces portraits, ces récits glacent le sang. Comment des gens aussi gentils ont-ils pu commettre autant d’horreur ?
    Superbe pays et peuple souriant, plus calme que les vietnamiens. J’avais beaucoup aimé.
    La photo sur la plage au coucher de solei, je n’aurais pas osé, mais si, ils l’ont fait !!!C’est trop.
    Votre blog est toujours aussi top.

  10. gab

    tu va retourner chercher kiki au vietnam et plus vite que ca non mais

    sinon pour le bidule je pense que c’est l’hemoroide qu’ils ont retirer a fab une fois qu’il a passer la frontiere parce que t’as du bien foueter du cul car tu partait dans la pampa pour aller payer ton visa 🙂

    régaler vous bien , et je pensais jamais dire ça mais je vais me payer une bonne tranches de st moret ce soir en pensant a vous … 🙂

    1. fifi

      T’inquièt’ Kiki va bien. C’est vrai que ces passages de frontière c’est toujours un peu flippant, l’ambiance est toujours très tendue…
      La bise de nous à la famille!

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