Le Laos, Une Blonde, Des Iles, Des Rizières, Du Café, Des Motos Et De La Boue…

Du 15 au 24 Aout 2012

Avant de se lancer dans les joyeusetés du récit de voyage, faisons connaissance avec le pays.

La carte d’identité du pays :


Superficie

236 800 km².

Population

6,7 millions d’habitants.

Capitale

Vientiane.

Nature du Régime

République à idéologie marxiste, depuis 1975.

Chef d’Etat

Le lieutenant général Choummaly Sayasone.

Monnaie

Le KIP (LAK)

Langues

Lao, dialectes Thaï, français et anglais.

Revenu Moyen

700$ par mois mais 75% de la population vie avec moins de 2$ par jour.

Espérance de vie

56 ans.

Taux de Change Moyen Lors du Voyage

1€ = 9 900 LAK.

Décalage horaire avec le France

+5h.

Le visa laotien, par frontière terrestre :

En arrivant il est demandé 2$ par personne pour faire un tampon de sortie sur le visa du Cambodge. Nous ne savons pas si c’est un bakchich ou une taxe règlementaire mais quand nous leur posons la question il n’y a pas de négociation possible donc nous payons ! Il faut ensuite se rendre dans une autre cabane pour faire faire les visas où l’on nous demande 30$ par personne au moment où l’on donne le passeport, la photo d’identité et les papier remplis ; puis encore 2$ par personne au guichet d’à côté au moment où l’on récupère notre passeport avec notre visa valable 30 jours, seulement pour faire le tampon d’entrée dans le pays. Ils font payer cher les coups de tampons par ici !

Premier contact avec le Laos

Toutes les formalités se sont faites en moins de quinze minutes, il faut dire que nous n’étions que quatre à rentrer au Laos à ce moment précis. C’était tout de même une ambiance particulière, nous avons marché seuls entre les deux barrières qui séparent les pays, comme si la zone était désertique mises à part quelques cabanes où se font les formalités… Au final l’autrichien a payé 35$ son visa au lieu des 30$ que l’allemand et nous avons payé et nous ne savons pas pourquoi ! Un bus était bien là pour nous réceptionner, encore vide, rien que pour nous. Adieu le Cambodge et bonjour le Laos où nous allons retrouver une poto !

Nous arrivons à Paksé et posons nos backpacks au Lankham hotel (60 000LAK la nuit) et allons prendre l’ambiance de la ville lors d’une petite balade qui nous amène au marché, bien évidemment… La petite ville que nous découvrons, traversée par de grandes routes bitumées, vie à un rythme paisible, presque au ralenti. Nos premiers contacts avec les laotiens sont plutôt bons : très cordiaux et accompagnés de larges sourires ! Le lendemain, nous visiterons la ville un peu plus en détail lors d’une grande promenade et passerons le reste de la journée à l’hôtel à regarder la mousson s’abattre sur les toits de la ville.

Aujourd’hui, c’est le grand jour, nous nous rendons à l’aéroport pour aller accueillir, une autre Claire, blonde, notre première visite d’amis proche depuis trois mois. Les retrouvailles se passent autour d’un bon apéro sur notre « roof top terrasse », avec du foie gras… merci Claire La Blonde (CLB) !


Retrouvailles autour d’un bon apéro…

Dans les îles…

Le lendemain nous levons le camp de bonne heure pour partir sur Don Det, une des « 4000 iles » au milieu du Mékong. Le trajet en minibus et pirogue prend environ 3 heures (60 000 Kips pour le bus et 15 000 Kips pour la pirogue), et nous élisons domicile dans des petits bungalows sommaires sur pilotis (20 000Kips la nuit par bungalow, sanitaires communs). Nous prenons ensuite la mesure du rythme insulaire de Don Det lorsque nous attendons une heure pour être servis au déjeuner… (un record en Asie !). Après une pause repos sur la terrasse de notre bungalow à regarder les violentes averses déferler sur le Mékong, nous nous promenons sur les chemins au centre de l’île au milieu des rizières, sublime ! Les couleurs du ciel de fin journée et les jeunes rizières éclatantes nous laissent sans voix, ou presque, les deux Claire ont beaucoup de temps à rattraper…


À dos de buffalo dans les rizières au centre de Don Det

Le jour suivant, nous louons des vélos pour aller visiter l’île de Don Khon, se trouvant au sud de Don Det. Elle se rejoint par un pont payant, 20 000 Kips, mais ce ticket donne un droit d’accès aux différents cascades de l’île. Nous nous arrêtons aux premières et plus importantes, celles de Limphi. Ce sont en réalité plus des rapides que de véritables chutes d’eau, mais restent impressionnants en cette saison où le débit du Mékong est très fort.


Rapides de Limphi

Nous longeons la rive pour atteindre une « petite plage isolée » où les ZOBS ?! piqueront une petite tête pendant que Claire, plus frileuse à l’idée de se baigner dans l’eau marron du fleuve, préférera jouer au surveillant de baignade – les courants sont très forts, même près de la rive. Nous continuons notre route en direction du sud de l’île et nous arrêtons près d’une autre plage sympa où des enfants jouent au ballon dans l’eau, les paysages sont magnifiques. Au passage nous buvons un petit coup car il fait plutôt chaud, et Claire (la brune) se fait amie avec un petit cochon qui veut se faire gratter le ventre… De nouveau sur nos bicyclettes, nous atteignons cette fois la pointe sud de l’île, où nous apercevons le Cambodge en face et où nous pourrions apercevoir des dauphins d’eau douce (en début de matinée et fin d’aprèm). Nous déjeunons au restaurant du bout de l’île et somnolons sur les tables pour laisser passer l’averse avant de reprendre la route dans le sens inverse. Sur le chemin du retour, nous regardons les enfants plonger et nager dans le Mékong, nous sommes étonnés de voir avec quelle aisance ils nagent dans un si fort courant. Arrivés à la casa, nous réservons nos billets retour pour Paksé (45 000 Kips, bateau inclus) et filons prendre une douche bien fraîche très appréciable après le cagnard de la journée !


Les Claire à bicyclette au bord du Mékong

Aujourd’hui, grasse mâtinée pour tout le monde et délicieux petit dèj’ au Paradise restaurant où nous nous régalons d’une succulente crèpe banane/miel/chocolat et d’un rice pudding au chocolat, puis nous sautons dans une pirogue pour rejoindre le continent. Deux minutes après le départ une grosse averse s’invite au voyage, pas de toit sur notre frêle esquif, nous finissons trempés !

Puis nous embarquons dans un minibus pour Paksé où nous logerons cette fois au Saigon Champasak hôtel (100 000LAK pour 3 avec la clim’). Le soir nous décidons d’aller boire un verre sur la terrasse panoramique du panorama restaurant bar, restaurant du Paksé hotel, pour fêter nos trois mois de voyage… Trouvant la carte alléchante à des prix abordables nous y dinerons de succulentes viandes cuisinées à l’occidentale… mmhhh, que c’est bon un bon bœuf bien saignant !


Trois mois de voyage… déjà !

A moto…

Jour 1 : le tour de chauffe

Nous louons des motos (50 000LAK par jour par moto) pour 4 jours afin d’explorer les environs. Lors de notre petit déjeuner classique ici, à base de bouchées vapeur à la viande et chocolat et café glacés, CLB se fait attaqué par une énorme mante religieuse… ça commence bien ! Nous partons ensuite pour Champasak, à une quarantaine de kilomètres au sud de Paksé, pour visiter le fameux Wat Phu (30 000LAK). Classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, le principal intérêt de cet ancien sanctuaire khmer, de l’époque préangkorienne, est sa situation : construit à flanc de colline près du Mékong et s’étirant sur 1400m au milieu de la campagne laotienne. La route pour s’y rendre est d’ailleurs remarquable, traversant des petits villages au milieu des rizières. Il ne reste que peu d’édifices sur pieds mais les pavillons en ruine, la grimpette pour accéder au sanctuaire, les lacs en contrebas et les grands arbres qui ombragent le site dégagent une atmosphère magique. Nous reprenons nos « bikes » et passons au travers de la ville de Champasak, elle aussi classée par l’UNESCO, mais nous n’y trouvons finalement que peu d’intérêts et rentrons au bercail. Au passage nous faisons une halte au « nouveau marché » de Paksé, le plus grand du Laos, selon le loueur de moto… Il est gigantesque, c’est vrai, même si à l’heure tardive où nous le parcourons les étalages de bouffe sont déjà pliés et les autres commencent à remballer. Le soir, nous préparons nos sacs pour trois jours d’aventure en motocyclette sur le plateau des Bolovens.


Wat Phu près de Champasak

Jour 2 : Paksé – Tad Lo, balade de cascades en cascades

Nous déguerpissons tôt ce matin après un bon petit déjeuner au marché car nous avons de la route devant nous, environs une centaine de bornes et plein de cascades à admirer en route. Notre première étape nous amène aux cascades de Phaxouam (droit d’entrée de 5000LAK/pers plus 3000LAK par moto). Nous explorons un peu le site à pied, trouvons des petites chutes d’eau au milieu de la jungle dense et admirons la grande cascade après avoir traversé un long pont de singe.


Cascade de Phaxouam

Nous continuons notre route et bifurquons pour d’autres cascades que l’on atteint au bout de 10km de bonne piste qui traverse de jolis villages isolés. Remarquables elles aussi, le point de vue n’est cependant pas très dégagé et Fifi devra escalader quelques gros rochers pour pleinement profiter du spectacle… (droit d’entrée de 5000 LAK d’après le ticket mais on nous fait payer 10000 pour 3, prix d’amis !)

Nous poursuivons notre route et nous arrêtons dans un boui-boui pour déjeuner une excellente soupe de nouille au poulet. Nous arrivons ensuite près de Tad Lo, notre point de chute pour la nuit, où nous découvrons les cascades alentours : Tat Suong (droit d’entrée 10000 LAK pour 3, re-prix d’ami), Tat Hang et enfin Tat Lo. Nous garons les scooters à la Siphaseth guesthouse où nous passerons la nuit dans un bungalow (40 000LAK pour 3) sommaire mais propre. L’apéro/diner sur la terrasse surplombant la rivière est très apprécié après cette longue journée de route sous la chaleur ! Nous rencontrons dans la soirée un couple de bordelais, Nathalie et François, qui voyagent avec leurs trois enfants. Nous échangeons des anecdotes de voyages autour d’une bonne bière.


Cascade de Tat Lo

Jour 3 : Tad Lo – milieu de nulle part, dans la mud…

Partis vers 8h nous faisons halte à la cascade de Tat Faek, haute de 5m, où Fifi se motive pour un petit plongeon. Nous apprendrons plus tard qu’il vaut mieux éviter la baignade dans le bassin du bas car il est fréquenté par des papaos, une sorte de poisson-globe qui s’introduit dans le pénis et y enfonce ses dents acérées… brrr, ça fait froid dans l’dos ! De retour au parking Fifi s’aperçoit que sa machine est à plat, pas de chance, il faudra pousser sur environ un kilomètre sous une chaleur torride. Nous profitons du temps de la réparation pour manger une soupe de nouille instantanée dans la bicoque d’à côté. Nous passons finalement un moment sympa au milieu des villageois amusés de nous voir.


Cascades de Tad Faek, aucun papao à l’horizon…

Ensuite, nous poursuivons la route goudronnée jusqu’à l’embranchement avec la piste qui traverse la jungle jusqu’à Paksong. Nous faisons le plein des bécanes et nous élançons sur la piste un peu boueuse. Nous savons qu’un passage sera difficile à franchir et nous pensons trouver un homestay – hébergement chez l’habitant – après environs 15km de piste. Dès le début, la piste s’avère bien moins praticable que prévu et la pluie s’invite à la fête ; nous nous abritons dans des canalisations d’eau et sous des feuilles de bananiers. La progression est lente, trop lente et les informations que nous glanons en chemin (en franglo-laotien mimé) sont plutôt contradictoires : « oui, on peut passer », « non, ça ne passe pas en moto », « oui, il y a un homestay à 7km », « non, vous ne trouverez rien pour dormir »… Nous franchissons des portions de chemin de plus en plus boueuses, jusqu’au moment où ça ne passe plus, les motos s’embourbent, la boue passe au dessus des genoux. Au même endroit, un laotien en slip et complètement recouvert de boue, essaie d’extirper sa camionnette de la mélasse, en vain… La nuit commence à tomber sur la jungle, nous essayons de discuter avec « le contremaitre » – un gars sorti de nulle part qui était surement le responsable de la construction du pont 1km plus loin – pour voir s’il peut nous loger pour la nuit. Il accepte un peu hésitant, mais quand nous arrivons au campement des ouvriers nous comprenons qu’il sera difficile pour nous de nous faire un place au milieu des gars qui vivent là, au milieu de la forêt, dans des conditions très sommaires. Ils nous offrent gentiment un sac de riz gluant et nous repartons à pied, dans la boue, sous la pluie jusqu’à nos motos finalement extirpées de la mélasse et garées près d’une cabane abandonnée. C’est ici que nous passerons la nuit ! La hutte au toit de chaume est étanche à la pluie, les « lits » sont surélevés par rapport au sol, nous ne serons pas si mal pour la nuit ! La soirée est plutôt courte : nous tentons de nous sécher un peu, mangeons le riz et essayons de nous faire une place pour dormir.


Notre nid douillé dans la forêt…

Jour 4 : Milieu de nulle part – Paksé, sortis du bourbier

Debout avec le soleil, nous retournons au passage critique où nous avions convenu de retrouver les gars du chantier pour qu’ils nous aident à passer les motos grâce à leur engin. Ils arrivent en fait à pied, pieds nus même, et nous font passer les bécanes, droit dans la boue… respect ! Nous leur laissons un petit dédommagement pour la peine, ils se sont bien galérés tout de même, et repartons sur le chemin qui s’annonce bien meilleur que la veille. Quelques passages boueux plus tard nous arrivons enfin à un village desservit de l’autre côté par une « magnifique » piste de terre rouge, presque sèche… le bonheur ! Sortis du pétrin, nous pouvons pleinement apprécier la beauté du plateau des bolovens et ses plantations de café, baignées par la lumière du matin, splendide ! Arrivés à Paksong, nous prenons un bon café du cru (moulu devant nous) et mangeons une soupe de nouille bien chaude pour nous remettre de nos émotions.


Enfin sortis du bourbier…

Nous allons ensuite à la chute de Tat Yuang (5000LAK + 3000LAK pour la moto) qui compte parmi les plus impressionnantes de la région, avec ses torrents jumeaux tombant sur près de 40m dans la jungle luxuriante. Nous en profitons pour faire un brin de toilette et de lessive dans la rivière en amont (car depuis la veille nous nous trimballons des baskets qui pèsent environ 4kg de boue). Puis quelques kilomètres après nous nous arrêtons au site de la cascade de Tat Fan (normalement 5000 LAK sauf apparemment à l’heure du déjeuner où il n’y avait personne au guichet). Nous attendons la fin d’une averse et la levée de la brume pour apercevoir deux spectaculaires chutes d’eau de plus de 120m. Nous profitons de la vue quelques instants et repartons en direction de Paksé où une bonne douche et un matelas bien confortable nous attendent !


Cascade de Tat Yuang


Cascade de Tat Fan

Le bilan de ces 4 jours de moto est plutôt positif et demeurera une expérience sensationnelle, malgré les quelques péripéties de parcours. Les 500km parcourus, au travers de magnifiques paysages variés –en évitant cochons, poules, vaches, canards, oies, chiens, chèvres, buffles etc.- resterons une aventure inoubliable, surtout la nuit dans la jungle loin de tout. Cependant, nous éviterons les pistes à moto en saison des pluies pour la suite du voyage… vaccinés !

Commentaires

  1. anelor

    Waouh!! Quelle aventure…
    On peut dire que CLB a eu déjà un bel éventail des péripéties et des merveilles qui font votre quotidien depuis 3 mois. Ces derniers jours ont été intenses, quel récit! Et j’imagine que les 2 Claire ont eu tout le temps pour les commenter.
    Vous êtes au top pour nous faire partager tout ça! Merci!

    PS: je suis rassurée de voir que Kiki est de retour.
    PS2: vous avez fait une partie de boules sur la place des marseillais?
    PS3: il était bon le foie gras?

    1. fifi

      Oui CLB a eu un condensé corsé de nos aventures en seulement 1 semaine! Elle est prête pour Pékin Express ou Kho-Lanta (ou encore un projet Blair Witch…)! Oui oui nous avons pu en débattre notamment durant notre longue nuit dans la cabane au fond des bois!Non nous n’avons pas joué à la pétanque, oui le foie gras et très apprécié!

  2. Lucie

    ouahhhhh ben didon vous en avez fait baver à votre invitée je trouve !!!!!!!!!! mais bon ça restera de merveilleux souvenirs pour vous 3 !!!!!! les photos sont magnifiques !!! merci pour le petit clin d’oeil marseillais …
    petite question : le défis du laos doit il être accompli par les 2 Claire ??? je sais pas, même prénom même défis, non ????

    1. fifi

      Ah ben je vois qu’il y en a qui ont peur de ce qui va se passer en Malaisie dans 1 mois!…Pour le défi il y a bcp de débats: certains veulent voir fab mettre la main à la pâte,d’autres veulent des duos, voir Claire…On va voir tt ça!

  3. tritce

    Et si CLB était le chat noir au final ??
    Jusque là tout allait bien, vous dormiez toujours au propre, mangiez toujours de délicieux mets raffinés, et là…crac ! Embourbement, et une nuit gagnée dans une cabane perdue dans la forêt et un sac de riz ! A croire que vous avez rencontré Denis Brogniart sur la route (cherches pas, demandes aux filles fifi, elle savant qui est ce monsieur!).
    Sinon j’ai vu une Grooosse bête dans la rizière, un serpentao, faut pas qu’il rentre là ba d’dans celui ci, ça va pas faire pareil…
    Et attention au plagiat pour les récits, je vous ai à l’oeil…

    1. fifi

      Ah ben oui on ne te le fait pas dire, avant l’arrivée de CLB on commençait à s’ennuyer dans nos hotels 4 étoiles, massages, piscine, sweet and sour, la remise à niveau fait du bien! T’inquiète, ces serpents là sont des anguilles et complètement inoffensives. Au contraire les « papaos » on a vu sur d’autres sites que ce n’est pas une légende regarde ce site et les photos

    2. MUM et P'PA

      Et mauvaise langue !!!! Tu l’as vue où la Grooosse bête ??? C’est quoi la gnôle de dimanche ou la peur des rampants ?
      Sinon, mon Fils essaie de ne pas tomber en déprime avec les deux Claire, et ne te laisse pas faire tu sais elles sont très coriaces quand elles sont en groupe…….
      Bon je vois que les aventures continues, toujours de plus en plus fort…..fantastique pour nous derrière notre écran. Mais attention tu es prévenu, pas d’aventure de ce genre pour la Malaisie…….Bisous à tous les trois.

      1. tritce

        faut ouvrir les yeux les anciens (ou mettre les lorgnons)! A moins que ce soit à vous qu’il reste de la gnôle dans les veines… z’avez vu, fifi il a dit que voui, qu’il y a des grooosses bêtes dans les rizières, si fifi l’a dit, c’est qu’c’est vrai !

  4. les voisins de la combe

    Super les filles en admiration eliane

    1. fifi

      Merci, les Claire ont eu quand même la pétoche mais elles étaient bien accompagnées!…(Claire)

  5. Chouchou

    Magnifiques photos !! Bravo !! Des couleurs, des contrastes sublimes !! Manque juste l’odeur et c’est comme ci l’on y était 😉
    Votre appareil marche du feu de dieu, ça lui a fait du bien ou quoi la boue ?? ;-))
    Bizz

  6. Chouchou

    PS : Au fait c’est qui qui plonge tout nu ?? Je n’ai pas reconnu les fesses !!

    1. fifi

      C’est Fifi, il a beaucoup maigrit…

  7. papa/maman

    Pas mal la cabane, vous aviez de l’espace !!! CLB a eu droit à un bon baptême, ça la change de Paris et elle va revenir transformée.
    Les enfants sont magnifiques (le cochon aussi).
    Lucie a encore un mois pour se mettre en condition. Nadine je te sens un peu inquiète ?
    Nous allons suivre tout cela avec un intérêt tout particulier…
    Bises à tous

    1. fifi

      Oui finalement la cabane était très standing!…CLB a bcp aimé et je pense que ceux qui ns rejoignent en Malaisie apprécieront aussi 🙂 Préparez les bottes pr la boue!!! Nous

  8. Florette

    Comme ca CLB est tout fe suite dans le bain. Et puis même si sur le moment vous ne faites pas les fiers, c’est ce qui fait le voyage et ses meilleurs souvenirs !
    Bisous à vous

    1. fifi

      Alors une réponse « groupée » car avec ton retard tu as plein de questions!!! Alors oui on se demande si on ne va pas finir le voyage à vélo!!! Merci pr les explications Pékin Express (ns c’est comme si on y était…) ms je ne te remercie pas d’avoir rigolé à la conversation de « sourd » que j’ai eu avec le chauffeur de tuk-tuk!!! Moi qui pensais revenir complètement bilingue pr t’épater!…C’est le réflex qui a eu des soucis ms on peut encore faire qq photos avec;)

  9. gerard semanas

    Magnifique photos , je vois que le periple ce passe pas trop mal mais on à l’air d’en baver un quand méme . bravo encore et bonne continuation .à bientot ;

  10. les miamors

    On rêve en vous suivant !!
    C fou et les photos sont térribles comme dit chouchou la technologie a bien évoluée !!
    Magnifique en tous cas et continuez !!
    Biz des miamors

  11. les miamors

    moi je l’avais reconnu le plongeur fou !!!! !
    hihihi !!!

  12. Nathalie et François

    Bonjour à vous deux
    Dés notre retour en France nous avons consulté votre site qui entre parenthèse est super bien fait.
    Heureux de savoir que vous avez passé un moment sympathique en notre compagnie et sachez que ceci est réciproque. Nous suivrons avec beaucoup de plaisir votre périple et nous vous adresserons de temps en temps un petit bonjour de notre France bien aimée.
    Bon vent à vous deux
    Nathalie François et le trio des jeunes.

    1. fifi

      Merci pour les compliments sur le site. Nous avons passé un très bon moment en votre compagnie et vous nous avez donné de l’espoir quant à nos futurs voyages avec nos 6 mômes… hihi!
      Bonne continuation et à bientôt sur le site.
      Fab et Claire

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